Docker
Le coup fatal au “ça marche chez moi”
Jenkins a résolu un gros problème : détecter les bugs dès l’intégration.
Mais il en restait un autre, bien plus vicieux…
Les environnements.
— “Chez moi, tout marche nickel.”
— “Ah bon ? Parce qu’en prod, ça plante.”
— “Ah… T’es sûr que t’as la bonne version de Node ?”
— “Attends, c’est quoi la version de la base de données déjà ?”
— “Noooon ! J’avais oublié d’installer une dépendance…”
On perdait des heures (voire des jours) à corriger des écarts entre les environnements de dev, de test et de prod.
Jusqu’à ce qu’un mec débarque en 2013 avec une idée simple mais game changer :
“Et si on mettait tout dans un container standardisé, qui marche partout pareil ?”
Ce mec, c’est Solomon Hykes.
Son invention ? Docker.
Avec Docker, fini les excuses.
Ton code tourne dans un container identique, que ce soit sur ta machine, sur un serveur, ou en prod.
Résultat ?
- Moins de “ça marche chez moi”.
- Des builds et des tests reproductibles.
- Des déploiements plus rapides et plus fiables.
Et surtout, Docker a ouvert la voie à Kubernetes,
qui allait bientôt changer la gestion des infrastructures… mais on n’en est pas encore là.
Parce qu’avant Kubernetes, un autre outil a marqué un tournant dans le CI/CD…
Un outil qui a rendu l’automatisation accessible à tous, directement dans GitHub.
Son nom ? GitHub Actions.
(Et ça, on en parle demain. 😉)