Zig

Y’a un moment, dans ta vie de dev, où tu veux plus de magie.
Tu veux savoir exactement ce que ton code fait.
Où il va. Combien il pèse. Et pourquoi il plante.

C’est là que Zig débarque.

Zig, c’est un langage qui s’adresse aux devs qui veulent reprendre le contrôle.
Le vrai.
Pas avec des abstractions mignonnes.
Pas avec des outils qui font semblant de t’aider.

Le créateur, Andrew Kelley, il avait une obsession :
refaire ce que le C faisait bien… mais en mieux.
Sans macro chelou, sans compilateur capricieux, sans build system qui date de la guerre froide.

Le problème ?

Tu veux faire du bas niveau, gérer ta mémoire, produire du natif propre…
Tu prends C.
Mais très vite, t’es dans la jungle :
• comportement indéfini partout
• toolchain pourri
• sécurité mémoire inexistante
• et un build system qu’il faut prier à chaque make

Zig, c’est la réponse à ce bordel.
• Pas de préprocesseur : le langage est le build system
• Compilation multi-target facile (tu peux builder pour n’importe quelle archi depuis n’importe où)
• Gestion de mémoire explicite, mais sécurisée
• Pas de GC, pas de runtime caché
• Et surtout : une lisibilité chirurgicale

Tu veux builder un OS ?
Un moteur 3D from scratch ?
Un compilo ? Un loader dynamique ?
Zig, il est taillé pour ça.

Et il te donne l’impression de coder en C, mais dans un monde où les erreurs sont lisibles, traçables, logiques.

C’est un langage de puriste, mais pas élitiste.
Tu sens que chaque ligne de design est pensée pour t’aider à écrire du code qui fait ce que tu crois qu’il fait.

Tu l’as testé ?
Tu penses que C mérite vraiment une retraite bien méritée ?

Dis-moi ce que t’en penses.
Et si t’as d’autres langages de l’ombre qui méritent qu’on en parle, balance.